La qualité des infrastructures dans le football africain, un vrai sujet à débat. Adam Fazazi, coach togolais officiant dans le championnat beninois et à la tête du club ASPAC fait une appréciation des infrastructures dans le football beninois.
Dans une interview réalisée par nos confrères de Sport Fm au Togo, le coach togoais s’est prononcé sur son vécu au Bénin. La qualité des infrastructures sportives dans les championnats du Bénin.
» Au Bénin, il y’a 22 stades bien synthétiques, il y’avait déjà 8 qui existent avant les 22. Vous ne verrez plus des matchs sur des stades non gazonnés au Bénin. Aucun club ne s’entraîne sur un stade nu. Même dans les villes où y’a deux clubs de Super ligue ou Ligue Pro, on leur donne un stade où ils sont obligés de s’entendre pour sa gestion. Sur les 22 stades, il y’a des vestiaires, des bureaux et salles de gym. Je dirai que la professionnalisation au Bénin est vraiment en marche « .
Sur l’aspect technique des championnats, l’actuel coach de l’ASPAC du Bénin est revenu sur la qualité du système de fonctionnement qui leur permet d’évoluer aisément au fil des journées de championnats
» le système est vraiment en place. Les modules de contrat bien élaborés où y’a plus les histoires de double naissances. Les joueurs enregistrés sont bien faits et tout le monde est bien organisé. Ce qui est encore plus intéressant au Bénin, à la fin de chaque match on a 24h pour l’homologation des matchs. Le système est bien en place pour donner toutes les informations nécessaires entre 2 matchs disputés. Les classement sont automatiques et plus besoin d’espérer. Tout est fait pour faciliter la tâche dans l’organisation et les préparatifs d’un match ».